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J'ai cri improbable en moi...

J'ai cri improbable en moi...
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17 janvier 2016

Avertissement...

Je change de plate forme... http://danielimprobable.blogspot.com (Ma plus jeune fille trouve que le design y est plus swagg (???)

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17 janvier 2016

Dédicaces

Les mots n'ont pas d'odeur mais je sens leur parfum

Ils s'imprègnent de l'âme de celui qui écrit

En exhalent les senteurs, les arômes les plus fins

Ces effluves envahissent l'air de celui qui lit

Pour Hélène...

 

Partager des envies, des souffrances et des cris

Accorder nos silences pour que nos coeurs s'entendent

Unir nos différences, se dire "rien n'est écrit"

Lier nos espérances, faire que nos mains se tendent

Pour Paul...

 

J'ai surpris l'indicible sur un coin de tes yeux

Un voile imperceptible comme une larme interne

Quelque chose de futile, cependant merveilleux

Une gourmandise aveugle qui rend l'instant moins terne

Pour Tiphaine...

17 janvier 2016

Collage (déc. 2004)

Ai-je besoin d'incohérence pour partager les problèmes?

Surprendre l'ombre,

celle, dingue,

qui parle sans lumière...

Devine un objet du caprice 

qui ignore le mouvement,

plein de suite,

mais s'éveille à perte de vue...

Le meilleur dérive des obscurs.

Dan

17 janvier 2016

Toussaint

Une angoisse obscène m'étreint et puis m'étouffe

Plus je t'aime, plus j'oublie, et puis enfin je vis

Je n'ai pour ambition qu'assouvir mes envies

Ma prétention s'étrangle et je l'entends qui pouffe

Je perds le goût du spleen, j'envisage demain

Plus je t'aime, plus j'oublie, et puis enfin je vis

Mes maux sont indolores si tu m'offres tes mains

Je n'ai d'autre ambition que partager ta vie

Quand mon ciel s'assombrit c'est que parfois j'oublie

De te dire mon amour, ma plus belle embellie

Plus je t'aime, plus j'oublie, et puis enfin je vis

Ce qui me fait envie, aujourd'hui, c'est ma vie

Octobre 2004, Dan

16 janvier 2016

Filitosa

Et d'un ciel sans nuage soudain surgit l'orage

Le calme puis la tempête se suivent dans ma tête

Tu remplis mon tableau, joli rêve d'esthète

Mes humeurs dépressives souvent te font ombrage

Je moque sans retenue mon esprit complaisant

Qui s'écoute et se plaint arrogant, suffisant

Je loue à l'infini ta passion du possible

Ton goût pour l'apaisement, ton envie d'indicible

Nos diffférences s'étonnent, se caressent puis s'étreignent

Surprenant leurs ébats soudain l'harmonie règne

Nos besoins s'additionnent mais nos doutes se soustraient

Mon désir se déguise, se pare de tes attraits

Dan

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16 janvier 2016

Errance matinale

Vient l'heure de l'indicible, l'amour envisagé

Celle de la fièvre intense, des frissons partagés

Des parfums capiteux, des couleurs indécentes

Inondent et pervertissent mon humeur innocente

Ma mémoire s'abandonne au creux d'un souvenir

Elle se love, se prélasse dans les bras d'un passé

Qui lui n'en finit pas d'aller et de venir

Ravivant un à un mes désirs agacés

Ce n'est pas de douceur que mon âme se remplit

Elle hurle haut son goût pour l'amer, le violent

Elle s'abreuve d'aujourd'hui, aplanit tous ses plis

Vient l'heure de l'innommable, l'amour désabusé

Celle des compromis, des omissions choisies

Mon coeur est ambitieux et il lance un "crois-y"

Mon esprit y renonce, fatigué et usé

Août 2013, Dan

2 décembre 2015

Merci...

Déjà une cinquantaine de visiteurs... Dommage que vous ne laissiez pas de commentaires.... Ils ne peuvent que m'inciter à poursuivre, améliorer, travailler encore, travailler toujours, creuser davantage, fouiller, fouiller et sortir le meilleur... Merci à vous.

Dan, 2015

28 novembre 2015

Transmission

D'un souvenir à l'autre j'erre sans certitude

ma mémoire fatiguée se refuse pourtant

à accoster le quai des sordides habitudes

J'attends sans illusion que s'arrête le temps

(variation...)

"D'un souvenir à l'autre j'errais sans certitude

ma mémoire fatiguée se refusait encore

à accoster le quai des sordides habitudes

J'attendais naïvement  le changement de décor..."

 

Les instants s'éternisent les minutes sont des heures

encore un jour chagrin couleur des yeux qui pleurent

à penser l'inutile se nourrir de futile

Un jour d'ennui morose pour âme malhabile

 

Les mots semblent épuisés et se traînent sous ma plume

qui prise d'un haut-le-coeur crache mon amertume

même ma feuille blanche se froisse et puis jaunit

Il n'est plus de discours qui ne soit pas honnit

Dan, janvier 2013

21 novembre 2015

Impro

Ne suis pas tes regrets, précède les toujours

Apprends, apprends encore, à vivre au jour le jour

Demain, cet inconnu, se cache et se déguise

Comme une lame nue, ton présent il aiguise

Bouscule tes certitudes, plonge et chavire, respire

Ouvre tes harmonies aux terreurs de l'instant

Ta peur est nécessaire et pourtant elle expire

Au coeur même de l'horreur, ton souffle est résistant

Dan, 2015

 

21 novembre 2015

Tel

Je me suis accoudé à ton balcon de fleurs

J'ai senti ta présence reconnu ton parfum

J'ai oublié ma peine et essuyé mes pleurs

Ton sourire m'a séduit et j'ai saisi ta main

La nuit sourde et sensuelle nous a un peu surpris

Il n'était pas d'étoile plus belle que tes yeux

Le temps s'est arrêté sur cette étrange envie

Sur ce besoin de toi, sur ce désir à deux

Dan, avril 1996

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